Grand Rue n°61 à 70

 

Au n°61, ancien n°31a :

magasins réunis

  • à compter du 21 mars 1904, Madame Joseph Gack, née Louise Véber et Monsieur, exploitent les premiers « Les Magasins Réunis, mercerie, nouveautés » jusqu’en 1924, date où ils déménagent au n°59 dans un bâtiment neuf.
  • à compter du 2 novembre 1927, Victor Letzelter effectue des travaux de sellerie à temps partiel.
  • à compter du 1er février 1933, Madame Pierre Remier, née Virginie Jung, exploite une épicerie, laiterie, alimentation générale. Elle ouvre un établissement secondaire à Thionville (57) à partir du 1er juillet 1934. Elle cesse toute activité à partir du 24 décembre 1935 et se retire à Metz (57).
  • à compter du 14 février 1936, venant du n°3, rue Jean-Jaurès où elle est installée depuis le 1er novembre 1934, Madame Alphonse Schmitt, née Marguerite Zimmermann exploite une épicerie Elle cesse ses activités à partir du 2 juin 1946.
  • à compter du 24 août 1946, Benoit Jolivalt exploite une entreprise de transport. Il cesse ses activités à partir du 26 juin 1947.
  • à compter du 12 décembre 1949, en location de Joseph Gack, Michel Scheck ouvre un établissement secondaire de ramassage et le portage de lait. L’établissement principal est situé au n°45, rue de la République. Il achète une partie de la tournée à Madame Wentzlow dont le commerce est au n°36, Grand’Rue. Il ferme l’établissement le 1er mai 1963.
  • à compter du 12 mars 1951, Victor Letzelter exploite un atelier de sellerie-bourrellerie. Il cesse le 1er janvier 1958.
  • à compter du 1er mars 1955, un atelier de couture est exploité par Madame Veuve Louis Todescat, née Marie Sacksteder. Elle ferme son établissement le 17 avril 1956.
  • à compter du 9 novembre 1949, Alfred Trierweiller exploite en établissement secondaire un magasin de pompes funèbres, articles funéraires et religieux, l’établissement principal est situé rue des 2 places à Thionville (57). Il déménage au n°68, rue Nationale à partir du 15 octobre 1959.
  • à compter du 1er août 1960, Jean Gedda ouvre un établissement secondaire de maître tailleur, vente et confection d’articles s’y rapportant. L’établissement principal est ouvert depuis le 20 février 1959, au n°88, rue de la République, pour la vente en ambulant de beurre, œufs, fromage, salaison, conserves, pâtes, volailles, charcuterie. L’établissement secondaire de tailleur est fermé le 31 juillet 1965.
  • à compter du 8 septembre 1969, en établissement secondaire, l’établissement principal étant à Creutzwald (57), dépôt de nettoyage à sec et blanchisserie, produits de parfumerie, articles de Paris. Gérant : Jean Strauchmann. Cesse le 24 décembre 1970.
  • à compter du 1er juillet 1974, service après-vente électronique, construction, installation exploité par Daniel Biehler. Il transfère ses activités à Uckange (57) dans le courant de la même année.
  • à compter du 1er avril 1981, en location, siège social de la SARL « Yutz-ambulances », associés, Sylviane et Anne-Marie Berezowski, Marcel Wéber. Gérante : Mademoiselle Sylviane Berezowski. Objet social : transport en ambulance, transport de corps, taxi, location de véhicules. Transfère son activité le 18 mai 1982 au n°31, de la rue Guynemer.
  • à compter du 21 juillet 1983, venant du n°2, rue Henri Dunant où elle est installée depuis le 1er janvier 1978, siège social de SARL « Confente et Alvarez ». Installations de sanitaire et chauffage, dont les co-gérants sont Jean Confente et Gabriel Alvarez. La société déménage à Thionville (57) à partir du 1er janvier 1987.
  • à compter du 2 avril 1984, siège social de la SARL « Ambulances Schmitt ». Associés : Eric et Astrid Schmitt. Gérante : Madame Gris, née Astrid Schmitt. Objet social : transport en ambulances, en voitures sanitaires légères, en commun, de corps, location de voitures, taxis. Le 1er avril 1985, déménage au n°97, rue Nationale.
  • à compter du 15 octobre 1985, SARL « Pompes funèbres Yussoises ». Associés : Henri Battavoine, Madame Henri Battavoine née Mireille Adam. Gérant : Henri Battavoine. Entreprise de pompes funèbres, travaux funéraires et annexes. Tous travaux et fournitures de marbrerie, fleurs et accessoires. A compter du 1er janvier 1986, l’établissement change d’enseigne et devient « Mireille fleurs ». A partir du 6 février 1990, devient établissement secondaire, l’établissement principal étant créé à Thionville (57) et change d’enseigne « Marbrerie, Pompes Funèbres Henri Battavoine » pour les deux établissements. A partir du 25 octobre 1992, devient SA. PCA : Henri Battavoine.
  • à compter du 25 octobre 1993, location-gérance à M. Régis Baldauf et Madame née Danièle Boubel. A compter du 21 novembre 1994, les époux Baldauf achètent le fonds. A compter du 21 février 1995, sous l’enseigne « Mireille fleurs », devient la SARL « Baldauf Régis » ayant son siège à Guénange (57).
  • Le n°61, Grand Rue en 2010.

    Location de deux pièces à la « Marbrerie pompes funèbres Henri Battavoine », pour l’exposition et la vente d’articles de marbrerie. A partir du 22 septembre 2001, la société « Marbrerie, Pompes Funèbres Henri Battavoine » redevient SARL. Gérant : Madame Corinne Olszowiak, née Battavoine. Le 22 octobre 2001, fin de la location.

A l’ancien 31 b, bâtiment détruit :

Vers 1920, atelier de ferblanterie de Joseph Gack dont les produits sont utilisés dans la construction des différents immeubles qu’il bâtit dans la rue.

  • de 1935 à 1940, Paul  Stettner exploite une laiterie à l’enseigne « Laiterie de Kédange ».
  • à compter du 20 octobre 1936, Joseph Gack exploite une manufacture de papier transparent en feuilles ou en rouleau (cellophane). Il cesse à partir du 1er mai 1944.
  • Monsieur Léonard Lenck, mercerie en gros, fabricant de drapeaux et brassards, de 1941 au 1er septembre 1944.
  • commissariat de police dans les années d’après guerre.

Au n°62, ancien n°41 :

L’ancien n°62, Grand Rue

La Grand Rue en 1920, du n°62 au n°107.

La Grand Rue en 1920, du n°62 au n°107.

  • à compter du 1er août 1908, Emile Bailer exploite un commerce d’épicerie et de légumes. Il ferme le 18 octobre 1939 et décède le 22 du même mois.

Au n°63, ancien n°31, transformé en parking depuis 2003 :

  • à partir du 1er août 1922, Charles Grethen exploite un salon de coiffure. Il cesse ses activités à partir du 31 juillet 1932.
  • à compter du 11 mars 1929, Edouard Stocker exploite un atelier de peinture à temps partiel.

  • à compter du 10 août 1930, ateliers de l’entreprise de peinture et papier peint exploitée par Adrien Arristy dont les bureaux sont au n°71 (ancien n°37).
  • à partir de 1935, Léon Lantz, maître tailleur et marchand d’habits venant du n°91 (ancien n°52), Grand’rue où il est installé depuis le 10 mars 1925. Il décède le 28 février 1944.
  • à compter du 16 février 1946, Jean Magard exploite  une entreprise de menuiserie en bâtiments, meubles, magasin dépôt et exposition de cercueils. A compter du 1er mars 1945, extension du commerce pour exposition de meubles et de cercueils. A partir du 20 mai 1947, ajoute l’ébénisterie et l’enseigne « Menuiserie-ébénisterie Jean Magard ». Le 1er septembre 1959, ajoute la fabrication et la vente de cercueils. A partir du 27 août 1974, Jean Magard transfère ses ateliers de menuisier-ébéniste et le magasin d’exposition de cercueils au n°11, rue Marie-Louise, nouveau siège de l’entreprise.

Au n°64, ancien n°43 :

Le n°64, Grand’Rue en 1915.

Vers 1915, épicerie Linn.

 

  •  à compter du 1er avril 1919, Albert Biacchi (père) exploite un commerce de chaussures et un atelier de cordonnerie. Il cesse ses activités le 17 décembre 1929.
  • à compter du 1er septembre 1949, Albert Biacchi, (fils), exploite le commerce de chaussures en ambulant. Le 14 février 1952, demande l’extension de son commerce à la réparation des chaussures (cordonnerie). Le 9 mai 1956, change l’objet du commerce qui devient « commerce sédentaire de chaussures et tous accessoires de la pantoufle et atelier de réparation ». Après le décès de son père Albert, le 17 avril 1956, il devient co-propriétaire par donation-partage avec sa sœur Marguerite. Le 9 mai 1956, transfert du siège social au n°65, rue Nationale et change l’objet du commerce qui devient « commerce sédentaire de chaussures et tous accessoires de la pantoufle et atelier de réparation ». Après le décès de son père Albert, le 17 avril 1956, il devient co-propriétaire par donation-partage avec sa sœur Marguerite.
  • à compter du 18 avril 1956, le commerce à l’enseigne « Chaussures Biacchi », est exploité par Madame Georges Gansert, née Marguerite Biacchi, co-propriétaire en donation partage, de Albert Biacchi (père) et de son épouse, née Barbe Dillenger. Elle cesse toute activité à partir du 27 juillet 1976. A compter du 30 juillet 1976, Albert Gansert exploite un commerce d’achat, vente de chaussures et accessoires en magasin à l’enseigne « Chaussures Gansert A ». Il cesse le 31 juillet 1989.
  •  établissement secondaire de « Euroburo diffusion », fournitures bureautique et informatique, mobilier de bureau, fournitures scolaires, photocopie minute. Le siège social est à Breistroff la Grande (57). Gérant : Claude Recouvreur.
  • à compter du 11 juin 1990, « La Cigogne », commerce de confiserie et de dragées exploité par Madame Edwige MARIE, qui cesse ses activités le 11 juin 1994.
  • vidéo club exploité par Marc Finck dont l’établissement situé au n°79 a brûlé.
  • à compter du 2 avril 1997, location-gérance à la SARL « Top Micro », distribution, montage, entretien, maintenance et négoce de matériel informatique. Gérant : Bruno Perez. Déménage le 16 novembre 2004, pour aller dans des locaux plus spacieux au n°104, rue Nationale.
  • à compter du 1er juin 2005 et déjà installé par ailleurs depuis le 1er septembre 1999, comme récupérateur fer et métaux, vente de vêtements d’occasion, Monsieur Abdelkader Ayache, ouvre un commerce sous l’enseigne « Troc’Habits ». Vêtement d’occasion sous toutes ses formes. Cesse ses activités en mai 2006.
  • à compter du 1er juin 2006, établissement secondaire de la SARL « BG Electronic service », service dépannage de matériel informatique, TV, Hifi, vidéo, sonorisation, car-audio, matériel pour l’électronicien, à l’enseigne « Electronic Service ». Le siège social est situé à Ranguevaux (57). Gérant : Nicolas Girotto. Ferme l’établissement secondaire à partir du 21 décembre 2006.
  • à compter du 6 août 2007, Snack-restaurant à l’enseigne « Demi-Lune » restauration rapide à déguster sur place ou à emporter. Gérant : Saber NOUHAUD. Cesse ses activités en juin 2010.
  • à compter du 18 octobre 2011, siège social de l’EURL « Le Chilam », restauration rapide. Gérant : Ghaia.

 

Au n°65, ancien n°34a, la salle de gymnastique Gabriel Anton.

C’était la propriété de la Société de gymnastique de Yutz qui porte le nom de son ancien président (depuis 1978) décédé le 12 août 1997.
Cette société est fondée en 1900 par des bénévoles et s’appelle alors « Turnverein Niederjeutz-Mackenhofen ».
Un terrain situé au lieu dit « Warth » entre la Moselle et la rue des Seigneurs, est mis à la disposition des gymnastes par la municipalité en 1902, mais l’autorisation de recueillir des fonds pour y construire une salle est refusée par le ministre impérial pour l’Alsace et la Lorraine. Le conseil municipal du 17 août 1928, autorise la vente de 50 ares de terrain municipal à la société de gymnastique « La Prolétarienne ». Les entraînements se font dans les arrières-salles de cafés et restaurants mises gracieusement à disposition. La Société progresse constamment tant en effectifs qu’en résultats. La première guerre mondiale ramène la société dans l’ombre. En 1919, elle est reconstituée sous le nom de société de gymnastique de Basse-Yutz. En 1923, la trésorerie le permettant, la société se porte acquéreur du jardin Ungeschickt, Grand’Rue, et y aménage un terrain de sport. La société progresse et obtient de brillants résultats. La nécessité de construire une salle devient impérieuse. Malgré l’aide de l’état, les finances ne sont pas suffisantes. Les responsables de l’association dont Lucien Hotton, ont l’idée de « vendre » les briques du futur bâtiment à raison de 2 F pièce. Chaque donateur reçoit une carte de membre bienfaiteur. La première construction est constituée par le bâtiment à chapeau de gendarme et est inaugurée le 15 juin 1930. La guerre disperse les différents membres dans toutes les parties du monde. Le hall est occupé tour à tour par les troupes allemandes et américaines. Après la guerre, tout est à recommencer, et dès 1946, la salle est rouverte à tous ceux qui le souhaitent. La société n’a cessé de progresser encadrée par une multitude de bénévoles. En avril 1960, le hall est agrandi. Une section est délocalisée vers Haute-Yutz dès 1966, avec des entraînements au gymnase Schuman. Avant la création des rues Marie-Louise et Saint Vitus, la rue Nationale et la Grand’Rue sont reliées par un sentier dénommé le Leihmer Gässchen. Il sépare la salle de gymnastique de la salle Louis de Gonzague qui est bordée d’un mur. A cette époque, Halloween n’existe pas et au temps de la récolte des betteraves, vers octobre, les garçons creusent ces dernières, y installent des bougies et les disposent sur le faîte du mur de séparation. Ils espèrent alors effrayer leurs camarades filles empruntant le chemin.Les services de sécurité et les activités en constante progression, imposent la rénovation de la salle. Les fournitures de matériaux sont assurées par la municipalité, les travaux sont exécutés par des bénévoles. L’inauguration de la salle rénovée a lieu le 2 janvier 1968. La salle est agrandie une première fois dans les années 90, par l’adjonction de l’appendice arrière, moins élevée. Les bâtiments sont cédés à la municipalité, la société de gymnastique n’étant pas en mesure d’en assurer l’entretien. Des travaux devenus impératifs pour pouvoir effectuer des compétitions nationales sont réalisés récemment. Les nouveaux locaux sont inaugurés le 21 septembre 2003. Cela permet d’effectuer tous les entraînements dans ces locaux et de libérer le gymnase Schuman dont une partie est transformée en dojo pour pratiquer les arts martiaux à partir de mi-2005.

Aux nos 66& 68, ancien n°46 et n°unique. Les numéros sont séparés en septembre 2004.
Au n°66, ancien n°46 :

  • à compter de 1907 et jusqu’en mai 1914, Alfred Casparini exploite une épicerie de spécialités italiennes.

    Les nos 66&68, Grand’Rue en 2010.

  • à compter du 1er avril 1925, Victor Biacchi exploite un commerce d’épicerie et fruits, spécialités italiennes, cafés grillés, pâtes italiennes aux œufs, avec son épouse Carmela, née Gaetano. Ils cessent leurs activités le 5 août 1946.
  • à compter du 10 août 1946, Guy BERNARD exploite une épicerie fruits et légumes. Il est radié le 1er décembre 1947.
  •  à compter du 1er octobre 1946, Madame René Renninger, née Yvonne Marbach, exploite un commerce d’épicerie, fruits et légumes, vente de spiritueux, bière et vin à emporter. Elle cesse le 1er février 1951.
  •  à compter du 1er février 1952, Madame Guillaume Fattore, née Sophie Ulrich, exploite une épicerie-fruiterie. Elle cesse le 15 février 1954.
  • à compter du 10 septembre 1954, Jean-Pierre Hillard transfère le commerce de vente en ambulant de beurre, œufs, fromage, légumes, fruits, poissons, semences, boissons, volailles, épicerie, mercerie, vins, bières, boissons hygiéniques à emporter qu’il a à Budling (57) et où il est installé depuis le 15 juin 1951. Le 19 décembre 1955, il exploite le commerce en sédentaire. Il achète le fonds à Marguerite Juste, née Dittlinger. A partir du 19 juin 1958, il reprend le café du Commerce, au n° 25, rue de la République. Il déplace son commerce d’épicerie en ambulant à partir du 26 juin 1958 à la même adresse.
  • à compter du 25 septembre 1958, Marcel Dupont et Madame, née, Marguerite Hillard, achètent le fonds à Jean-Pierre Hillard. Ils exploitent le commerce de fruiterie, primeurs, épicerie, mercerie, vins et alcool à emporter sous l’enseigne « Epicerie-Mercerie ». Ils cessent à partir du 9 mars 1959.
  • à compter du 9 mars 1959 avec entrée en jouissance le 29 mai 1959, Khoudir TAÏB achète le fonds d’épicerie, mercerie, fruits, légumes, confection hommes, dames et enfants. Il vient du n°25, rue de la République où il est installé depuis le 9 mars 1958. Il vend le fonds à son frère le 30 septembre 1959.
  • à compter du 1er octobre 1959, Mohamed TAÏB exploite le fonds de commerce de confection hommes, dames et enfants acheté à son frère Khoudir et y ajoute épicerie, légumes, crémerie, œufs, beurre, fruits et légumes à l’enseigne « Epicerie-Mercerie ». A compter du 7 octobre 1959, il ajoute la vente de bière, vins et alcool à emporter. Il cesse son activité le 1er août 1962 et part en Algérie.
  • à compter du 1er juin 1963, venant de Verdun (55), où il est installé depuis le 10 août 1989, Belkacem Chalal achète le fonds d’épicerie mercerie fruits et légumes. Le 15 juin 1965, il achète le fonds de « hôtel-café-restaurant » au n°5 (ancien n°2), rue des Jardins à l’enseigne « le Scala ».

Au n°68, ancien n°46 :

  • à partir du 1er mars 1919, Madame Jean Hotton, née Augustine Thiry, exploite un commerce d’épicerie, lait, beurre, fruits et légumes. Elle cesse ses activités en 1939.
  • à compter du 1er décembre 1946, Mademoiselle Berthe Hosy exploite un commerce d’épicerie, comestibles et délicatesses dans les locaux appelés communément « ancien magasin Hotton ». Elle est la fille de Berthe et Henri Hosy qui exploitent le café du Bon Coin au n°44, Grand’Rue. Elle cesse ses activités le 31 janvier 1952.
  • à compter du 19 février 1952, Jean Morbé exploite un commerce vente en ambulant demi-gros et détail de produits d’entretien et de nettoyage, brosserie, œufs, volailles. Il crée un fonds de commerce ambulant au n°2, rue Mozart le 2 janvier 1956. Ajoute la vente en sédentaire à partir du 2 janvier 1960. Jean Morbé décède le 10 novembre 1962. Le 1er janvier 1963, Madame Veuve Jean Morbé ferme le magasin.

Au n°67, ancien n°34 :

  • de 1925 à 1929, Madame Veuve Albert Genin exploite un commerce d’épicerie.
  •  à compter du 5 janvier 1929, Madame Marcel Pierre Dussort, exploite un magasin de vente d’étoffes. Elle cesse ses activités le 1er février 1930.
  • à compter du 1er mai 1926, Marcel Dussort exploite un salon de coiffure. Il déménage au n°7 (ancien n°20), rue des Prés le 15 décembre 1948.
  • à compter du 1er janvier 1937, Madame Marguerite Werlé, divorcée Dussort, créée un salon de coiffure mixte, vente d’articles de parfumerie, en location-gérance. Elle cesse le 30 septembre 1966 pour raison de santé. Elle décède le 17 avril 1985.

Au n°69, ancien n°35 :

  • à compter du 14 mai 1926, Alphonse GERARD exploite un atelier de cordonnerie en association avec Jacques Sieberborn qui vient du n°44 (ancien n°30) où il est installé depuis 1922. Alphonse GERARD cesse ses activités à partir du 1er août 1931 et s’installe au n°71, (ancien n°40), rue Nationale en 1934. Jacques Sieberborn cesse en 1934.
  • à compter du 22 février 1937, Madame Joseph Dillier, née Rosalie Stéphan, venant de Thionville (57), où elle est installée depuis le 22 janvier 1937, exploite un commerce d’achat, ventes et prêt de livres, brochures et accessoires.
  • Nicolas Bayard est cordonnier. Il déménage à Terville (57) le 1er mai 1940.
  • à compter du 1er juillet 1946, Joseph CLEMENT exploite une cordonnerie à l’enseigne « Cordonnerie CLEMENT Joseph », venant du n°16, rue des Jardins où il est installé depuis 1944. Il cesse son activité le 1er janvier 1960, devenu invalide. Il décède le 15 février 1985.
  • à compter du 17 février 2000, Abdelkader Ayache effectue du démantèlement d’épaves.
  • à compter du 12 septembre 2011, Madame Cyndi Ayache est récupérateur de déchets triés et recyclables.

Au n°70, ancien n°49 :

  • Avant la guerre de 1914, boucher Koehler.
  • à compter du 19 mars 1919, boucherie-charcuterie, vente ½ gros et détail, en sédentaire et ambulant, Charles Armbruster, à l’enseigne « boucherie-charcuterie alsacienne ». ll vend le fonds le 16 juillet 1954 et est radié le 7 septembre de la même année. Pendant la période de Pâques, Charles Armbruster promène un bœuf blanc enrubanné dans les rues du quartier, avant de l’abattre. Les quartiers de viande sont ensuite exposés en vitrine décorés de fleurs.

  • à compter du 15 mai 1937, Georges Armbruster, boucher ambulant venant de Schiltigheim (67), est en location-gérance. Il achète le fonds de commerce à Charles Armbruster le 16 juillet 1954 et l’exploite de la même façon en ambulant. A partir du 11 août 1954, ajoute la vente en sédentaire. A partir du 23 novembre 1949, ajoute la vente en demi-gros et détail. A compter du 14 avril 1962, il ouvre un établissement secondaire à Thionville (57), pour l’exploitation d’une boucherie en sédentaire et en ambulant et d’une blanchisserie, pressing, commerce de mercerie-bonneterie et journaux. Le 1er septembre 1963, il donne la boucherie-charcuterie et le 3 décembre 1963, l’établissement de Thionville (57), à son Source : Philippe Bieber. fils Daniel. Georges Armbruster cesse l’exploitation de son commerce et devient loueur de fonds. Il loue :
    • à compter du 1er septembre 1963, venant de Hagondange (57), à Roland Picard, qui exploite le fonds de boucherie-charcuterie en sédentaire et ambulant pour la vente en ½ gros et au détail. Il déménage à Audun-le-Tiche (57) à partir du 1er octobre 1966 et cesse ses activités à partir du 31 mai 1982.

Georges Armbruster vend son magasin à Octave Siersnew le 3 novembre 1966. Il décède le 8 février 2012.

  • à compter du 2 janvier 1967, boucherie-charcuterie Octave Siersnew. Le 31 décembre 1976, vente du fonds à « Jambonlor SA ».
  • à compter du 1er janvier 1977, SA « Jambonlor » dont le siège social est à Audun-le-Roman (54), depuis le 15 avril 1975. Pca : Jean Hyeulle. Fermeture le 1er janvier 1978.
  • le 1er janvier 1978, Jean-Paul Grineisen achète le fonds de boucherie-charcuterie à Jambonlor SA et l’exploite à partir du 6 mars 1978. Il ouvre un établissement secondaire à Talange (57) le 12 octobre 1978. Il cesse l’activité principale de Yutz à partir du 29  mai 1986 et vend le 30 avril 1987 à la SARL « Coraviand ».
  • à partir du 11 juin 1987, venant du 67, rue Nationale où il est installé depuis le 1er octobre 1972, siège social de la SARL « Coraviand ». Sont associés : Georges Armbruster, Roland Schmitt et Roger Wagner. Pdg : Georges Armbruster. La société loue trois établissements secondaires à Thionville (57), 2 appartenant à Georges Armbruster et un à Roland Schmitt. Elle est dissoute le 30 avril 1992.
  • à compter du 2 janvier 1998, Yves Arnaud Klein exploite une entreprise d’électricité générale, chauffage, éclairage, électricité tous corps d’état, climatisation, alarmes, études et réalisation, venant de Thionville (57), où il est installé depuis le 1er juin 1933. Il déménage le siège social à Thionville (57) à partir du 31 mai 2005. L’établissement secondaire de Yutz est un dépôt qu’il ferme en 2011.

Le n°70, Grand Rue en 2010.

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3 réflexions sur « Grand Rue n°61 à 70 »

  1. DUBOIS

    Marie-Françoise Dubois
    La Bordasse 11500 Granès

    Je me permets de vous indiquer que le nom de mon grand- père est Paul STETTNER et non SETTNER (voir ancien n°31)
    De plus il me semble avoir lu le nom de ma grand-mère dans une première version Marie FIEVET(épouse Stettner) qui aurait tenu un magasin dans les même années mais je n’arrive pas à la retrouver Auriez vous éventuellement plus de renseignements,
    En vous remerciant
    Cordialement
    Marie-Françoise Dubois

    Répondre
  2. Dubois

    Bonsoir
    je me permets de reprendre contact .Auriez vous plus d’informations sur la laiterie de Kédange.
    En effet c’est mon grand père Monsieur Paul Stettner qui en était un des responsables à cette époque
    Existe t’il des photographies ou autres documents qui relatent cette période
    En vous remerciant
    Cordialement
    Marie-Françoise Dubois

    Répondre
    1. Bernard Auteur de l’article

      Bonjour

      Nous étions en vacances et avait tenté de vous répondre depuis le lieu de notre séjour mais le message était revenu Voilà donc ma réponse

      Je n’ai malheureusement aucune photo de la laiterie dont votre grand père était responsable . Dans le cas contraire j’aurai eu plaisir à l’insérer dans le texte bien que limité dans la publication du livre

      Tous les renseignements dans ces pages sont issus des archives municipales ou départementales et du registre du commerce de Thionville qui évidemment ne stocke pas des photos. Certaines d’entre elles m’ont été fournies par d’aimables connaissances qui ont recherché dans leurs fonds de tiroirs !!

      Je suis au regret de ne pouvoir répondre favorablement à votre demande
      Je vous remercie néanmoins de vous intéresser à ce document

      Acceptez mes cordiales salutations

      B. Adamiste

      Répondre

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