Depuis le 28 août 1962, ancienne rue de la Culture.
« Bauernstrasse » durant l’occupation allemande de la dernière guerre
Maison typique au n°15.
Ancienne forge, dont l’autorisation de construire fut accordée le 1er décembre 1807 à Monsieur Nicolas Hoffman moyennant une rente annuelle de 25 centimes.
Elle est ensuite la propriété de Pierre Véber, maréchal ferrant qui exerce de 1867 à 1891.
Puis c’est Mathias Thiel qui pratique le métier avant de revendre l’atelier le 2 février 1900 pour 800 Marks à François Haag.
Ce dernier est forgeron à Hallering (57) localité située à proximité de Faulquemont (57).
Vue de la forge, la croix n’étant pas encore déplacée.
Le 13 mars 1922, Jean FRANCOIS fait une demande d’autorisation d’installer un atelier de ferronnerie d’art.
François Haag, forgeron, maréchal ferrant et serrurier d’art, domicilié au n°30, (ancien n°16), rue de la Culture, utilise les locaux à partir de 1910 jusqu’à la fin des années 42/43. C’est lui qui construit les grilles de l’école Chateaubriand et celles du Temple, rue de la République.
Il déménage rue Anatole France. Son fils Edmond, utilise l’atelier pour y bricoler jusqu’en 1959. Elle est aujourd’hui transformée en garages.
La croix érigée sur un socle est située à l’arrière de l’ancienne forge. Elle est à double face. La face visible comporte les statues de saint Jean et de sainte Marie de part et d’autre de la croix.
Auparavant, la croix était plus avancée sur la rue et ne jouxtait pas le bâtiment. Elle a été déplacée vers 1940 par les Allemands pour faciliter la circulation.
Au n°1 :
- à compter du 1er janvier 1975, René Kohler exploite une entreprise de menuiserie, parquetage, serrurerie, charpente métallique. Il cesse son activité à compter du 30 septembre 1992.
Au n°3, ancien n°18, rue de la Culture :
- à compter du 1er juillet 1909, Nicolas Wéber exploite une entreprise de camionnage. Il cesse ses activités à partir du 27 juin 1945.
- à compter du 1er juin 1945, SARL entreprise de transport et camionnage, « JACOB et Wagner » dont les gérants sont Nicolas JACOB et Michel Wagner. Ils cessent le 20 mars 1947.
- à compter du 4 avril 1933, Nicolas JACOB exploite une entreprise de camionnage. A partir du 15 mars 1947, il gère une école de chauffeurs. Il supprime le camionnage à partir du 31 juillet 1957 et cède la licence de camionnage le 1er août 1957 à Armand Gross, qui s’installe au n° 34, rue sainte Elisabeth. Nicolas JACOB cesse l’activité d’auto-école à partir du 31 août 1965 pour raison de santé.
- à compter du 15 juillet 1955, Paul JACOB (fils de Nicolas JACOB) exploite une entreprise d’auto-école dans des locaux mis à sa disposition par sa mère, Marie JACOB, née Wéber. Il déménage au n°1, rue de Bar le Duc, à partir du 1er juin 1965.
- à compter du 15 juillet 1986, siège social de la SARL « Transports Wéber frères ». Sont associés : Alain, Christian et Marcel Wéber. Gérant : Alain Wéber. Effectuent du transport et la location de véhicules de transport de moins de 3,5 T. A partir du 1er mai 1987, Alain Wéber s’installe comme artisan taxi au n°9, rue de la Liberté, à l’ex Haute-Yutz et Marcel n’est plus associé. Le nouveau gérant est Christian Wéber. Fin de la société en octobre 1994.
Au n°5 :
- à compter du 3 novembre 1981, tuyauteur-chaudronnier-soudeur Antoine Lanzalaco.
- à compter du 1er novembre 2009, Jean-Michel PLA exploite une entreprise de peinture et vitrerie.
Au n°11 :
- à compter du 10 août 1982, Ali Lalama crée un établissement secondaire de vente en ambulant de confection dames, hommes et enfants en ambulant. Il devient établissement principal à la suite de la fermeture de celui qu’il exploite rue des Allemands à Metz (57) le 31 août 1982. Il cesse ses activités à partir du 1 octobre 2013.
- à compter du 29 mai 2005, en établissement secondaire, Gorayadev Chiniah exploite un commerce d’intermédiaire pour la vente de textiles, habillement, fourrures, chaussures et articles en cuir à l’enseigne « Bethel ». Le siège social est à saint Pierre de la Réunion depuis le 1er novembre 1994. Il cesse ses activités à partir du 18 septembre 2005.
Au n°13 :
- à compter du 15 février 1983, vente en ambulant d’articles de décoration, gadgets, ménages, tableaux, posters, articles de ménage, articles de Paris par Madame Michèle Amant. Elle cesse le 31 août 1985. Elle a fait une première demande le 17 juin 1982 qui lui a été refusée.
Dans « Les anciens Pouillés du diocèse de Metz » par Dorveau en 1902, on signale que Macquenom possède une chapelle en ruines en 1721.