Rue de la Culture

 

Une partie est devenue rue de la Forge depuis le 28 février 1962.
Le conseil municipal de novembre 1867 propose « la construction de la rue de la révolution jusqu’à la fontaine ». Le conseil municipal décide plus tard « le caniveau devra être prolongé pour éviter la pollution de l’eau de la Fontaine par temps de grosse pluie ».
Sous l’administration impériale allemande après 1870, « Bauernstrasse » jusqu’au 13 décembre 1918 avec le retour de l’Alsace Lorraine à la France.
Reprend cette dénomination pendant l’occupation allemande de la dernière guerre.

Au n°1 :
C’est l’adresse d’inscription au registre du commerce mais l’entrée principale est au n°92, avenue des Nations.

  • Extrait du journal « Le Basse-Yutzois » du 26 février 1926.

    à compter du 1er décembre 1918, débit de tabac, journaux papeterie exploité par Pierre Thuillier à l’enseigne « A l’équipement de l’aviateur ». Le 14 mars 1925, il demande l’extension à articles pour fumeurs et parfumerie. Après le décès de Pierre Thuillier le 30 décembre 1961, magasin exploité par la SNC « Thuillier Frères » (Louis, Raymond et Marius).

    Le n°1a, rue de la Culture

Le n°1a, rue de la Culture. Source : Yutz, d’hier et d’aujourd’hui. Source : Claude Thuillier.

  • Marque page publicitaire. Source : Albert Liebnau.

    à partir du 1er septembre 1963. Louis devient le seul gérant à partir du 1er avril 1964 et jusqu’au 31 décembre 1969. Donation de Monsieur et Madame Louis Thuillier  à leur fille Evelyne, épouse Dominique Blaise, à partir du 1er janvier 1970. Elle exploite un fonds de commerce de papeterie, articles pour fumeurs, parfumerie, journaux, tabacs, réparation de pipes, stylo,  loto, cadeaux,  à l’enseigne « Le Balto » . Elle cesse ses activités à partir du 30 avril 1980.

  • à compter du 1er mai 1980, vente du fonds à Monsieur et Madame Robert Frumholz. Il est exploité par Madame Frumholz, née Marie-Louise Beissmann, sous l’enseigne « Le Balto ». Elle cesse le 30 juin 1990 et vend le fonds.
  • à compter du 1er juillet 1990, achat et exploitation du fonds par Madame Jean Laroche née Anne-Marie VALANTIN. A partir du 30 août 1993, ajoute la vente de boissons à emporter et supprime la réparation de pipes et briquets et la stylographie. Radiée le 30 juin 1995.
  • à compter du 1er juillet 1995, fonds de commerce de tabac journaux, boissons et alcools à emporter, loto, jeux à gratter, souvenirs, exploité par Alain MARC à l’enseigne « Le Balto ». Il cesse ses activités à partir du 15 mai 2002.
  • à compter du 16 mai 2002, fonds de commerce de tabac journaux, boissons et alcools à emporter, loto, jeux à gratter, souvenirs, exploité par Madame Jacqueline Corti née Pierrard, à l’enseigne « Le Balto ». Elle cesse ses activités le 16 octobre 2010.
  • à compter du 1er octobre 2010, Madame Didier Bouchheimer, née Marie José Retter, reprend le fonds de commerce à la même enseigne.

Au n°2 :

  • à compter du 1er octobre 2010, Stéphane Nospeld exploite une entreprise de nettoyage à l’enseigne « Nosstef Propreté ».
  • à compter du 6 juillet 2015, Madame Giliane Kipper, née Louis, effectue de la vente à domicile.

Au n°3, ancien n°1a :

C’est la seule maison de la rue qui pendant la seconde guerre mondiale possède une dalle en béton. Sa cave, dont les soupiraux sont protégés par des sacs de sable et des blocs de pierre, va servir d’abri où les habitants se réfugient pendant les alertes, attendant couchés sur des couvertures, la fin des bombardements.

  • Le n°1a, rue de la Culture en 2010. Source : Claude Thuillier.

    à partir du 1er novembre 1937, Charles Muller (2) exploite une laiterie en location. A partir du 20 octobre 1947, il ajoute épicerie, œufs, fromage, ramassage lait et œufs, alimentation générale. Et à partir du 2 mars 1950, en ambulant et sédentaire. A partir de 1946, il ouvre un second commerce au n°4/6, rue de Bordeaux, qu’il transfère au n°11 de la même rue à partir du 1er mars 1950. Il s’installe au n°1, rue Beethoven à partir du 3 septembre 1952.

  • magasin d’articles funéraires exploité par Madame Marius Thuillier née Anne Lapointe, jusqu’au 1er juillet 1959 où elle déménage à Thionville (57).
  • à compter de 1960, ouverture d’un dépôt de blanchisserie en établissement secondaire, l’établissement principal est au 16b, rue Nationale depuis le 1er juillet 1952. Gérant : Ernest Kern. Cesse ses activités à partir du 15 novembre 1978.
pressing ducal

Source : association Symec.

  • à compter 15 avril 1982, en établissement  secondaire, le « Pressing Ducal », blanchisserie, pressing, exploité par Madame Jean-Marie Charton née Jeannick Jucquin. L’établissement principal, blanchisserie-pressing, est situé à Sierck-les Bains (57), ouvert en société depuis le 4 novembre 1980. A partir du 4 avril 1981, effectue de la vente occasionnelle de vêtements. La société est dissoute à partir du 6 janvier 1983 et le commerce de Yutz devient établissement principal. Divorcée, elle se remarie le 7 avril 1983 à Daniel Thomés. A partir du 26 novembre 1990, Madame Daniel Thomés née Jeannick Jucquin, ajoute la vente de fleurs, fruits et légumes, gardiennage et surveillance. Elle divorce à nouveau et se remarie à Christophe LOUIS le 4 juillet 1992. A compter du 14 avril 1993, le fonds est transformé en restauration rapide, à l’enseigne « snack-frites Ducal » exploité par Christophe LOUIS, auquel est ajouté le transport de moins de 3,5T, locations diverses, soldeur. Il ferme le 30 juin 1992 et s’installe comme transporteur à Florange (57). Le 31 décembre 1993, fermeture du Pressing Ducal.
  • à compter du 15 octobre 1994, venant du n°30, rue de la Liberté où il est installé depuis le 1er juillet 1979, Philippe Le Duc exploite un cabinet d’architecture. Il crée une SARL.
  • à compter du 30 septembre 1996, à l’enseigne SARL « Maximme Immobilier », marchand de biens, location d’immeubles, promotions immobilières. Co-gérants : Philippe Le Duc et Madame, née Dominique Durmeyer. Il déménage siège social et établissement principal au n°4, rue de Brême, à partir du 5 février 1999.
  • à partir de mars 1999, venant du n°50, Grand’Rue où elle est installée depuis septembre 1997, entreprise « HBR », Habitat, Bâtiment, Rénovation, exploitée par Patrice Joncquel. Charpente, couverture, zinguerie, étanchéité, ravalement. Il cesse ses activités en décembre 2003.
  • Cabinet de podologue.

Au n°4, ancien n°2a :

La villa Hélène, du nom de l’épouse du propriétaire, entrepreneur Vitus Hées qui n’a pas réussi dans les affaires, a été construite par Jean-Pierre Hées.

  • à compter du 1er août 1932, SARL entreprise de travaux publics et d’exploitation de carrières. Gérants associés : Otto Stauffner et Vitus Hées. Ils cessent leur collaboration 31 juillet 1942. C’est l’entreprise qui a creusé l’étang du Tilly dont le sable a servi à la construction de la ligne Maginot et qui est transporté par l’entreprise Tilly.
  • à compter du 27 janvier 1946, Madame Robert Fritz, née Lucie Schneider, exploite un atelier de couture. Elle cesse le 19 janvier 1949.
  • à compter du 1er octobre 1974, artisan poseur-menuiserie Guy Gadroy. Il cesse ses activités à partir du 30 juin 1976.

Becker-et-Cie

  • à compter du 16 octobre 2006, établissement secondaire de l’EURL « BG Lum », siège social à Créhange (57) depuis le 2 octobre 2001. Commerce de produits spécifiques relatifs à l’éclairage public. Gérant : Gilles Becker.
  • à compter du 2 février 2011, siège social de la SAS « SUN Car ».. Etablissement secondaire à Longeville-les-Saint-Avold (57). Entretien et réparations de véhicules automobiles légers. Gérant : Gilles Becker. Cesse ses activités à Yutz en décembre 2013.

Aux nos5/7, l’ancien corps de ferme transformé en logements, devait faire partie de la vente de Monsieur Yves Auguste Rehm dans les années 1861/1862.

Au n°10, ancien n°9 :

  • en 1912, Jean Hotton exploite un café auberge.
  • à compter du 6 mai 1919, Jean Frantzen exploite le débit de boisson. Il cesse ses activités à partir du 12 juillet 1928.

Extrait du fascicule du centenaire de la compagnie des sapeurs
pompiers de Basse-Yutz en 1932.

  • à compter du 1er décembre 1928 jusqu’au 15 février 1935, François Schivre et son épouse née Victorine Spiegel, exploitent le débit de boissons dont il a hérité. François fait commerce de combustibles, charbons, briquettes, anthracite, coke et bois. Le service est rapide par camion. Son chantier est au n°111 Grand’Rue depuis le 22 juin 1922. Il décède le 18 juillet 1944.
  • à compter du 1er mars 1935, Adrien Forrette exploite le café restaurant. Il quitte Yutz pour s’installer à Hettange Grande (57) à partir du 26 novembre 1959.

Extrait du programme des cérémonies du souvenir français du 11 novembre 1937.

  • Madame François Schivre née Victorine Spiegel, propriétaire par héritage du café restaurant de la poste, devient loueuse de  fonds à compter du 18 juillet 1944  jusqu’à son décès le 5 octobre 1956. Elle loue à la brasserie de Thionville-Yutz qui sous loue à :
    • Madame Hosy, née Berthe Hamentien qui exploite le débit de boisson jusqu’au 6 juillet 1945.
    • à compter du 29 septembre 1946, Madame Veuve Jean Kieffer, née Marguerite Schoumacher, qui exploite le café. A partir du 3 octobre 1959, étend ses activités à la location de meublés.Elle cesse ses activités à partir du 30 juin 1967.
  • à partir du 5 octobre 1956, Madame Victor Scheil, née Louise Schivre seule héritière de Victorine, devient loueuse de fonds et loue à :
    • compter du 4 juillet 1967, à Madame Obringer, née Mathilde Altenburger, qui exploite le débit de boisson jusqu’au 1er juillet 1968.
    • à compter du 1er juillet 1968, aux époux Michel Rizzo et Madame née Janine Landanger, jusqu’au 31 octobre 1979 où le fonds est repris par la propriétaire.
  • Madame Victor Scheil, née Louise Schivre vend le fonds le 31 décembre 1979.
  • à compter du 1er janvier 1980, Madame Mompert, née Gabrielle Scheil, devient propriétaire par donation partage de ses parents, Madame Victor Scheil, née Louise Schivre, et épouse de Victor, ancienne loueuse de fonds. Elle loue à :
    • à compter du 22 avril 1980, à Madame Roland Antone, née Rolande Thomen. Cesse ses activités le 15 novembre 1981.
    • à compter du 23 novembre 1981, à Madame Denis Pittis, née Chantal Wagner, qui cesse le 28 janvier 1983.
    • à compter du 31 janvier 1983, à Denis Pittis jusqu’au 31 octobre 1985.
    • à compter du 7 novembre 1985, aux époux Saumon, Madame, née Paulette Caroulle, avec René Saumon comme collaborateur, qui cessera ses activités le 3 janvier 2003. A partir de mai 2003, achat par les époux Roger Halter qui aménagent l’étage en appartements et louent le local commercial à :
      • la société EURL « Bébéscope », à compter du 1er juin 2005, vente de tous les produits se rapportant au bébé, souvenir sur différents supports (DVD, photos, Internet), équipement de la chambre, vêtements, jouets, alimentation, livres et revues spéciales enfant. Gérant : Franck Paul DE ARANJO. Déménage à Cosnes-et-Romain (54) le 30 mars 2009.
      • SARL « L’Eveil de soi », à compter du 11 mai 2009, pour y établir son siège social et établissement principal de soins corporels, centre de bien être, sauna, relaxation, solarium. Gérant : Antonio Succurro. A partir du 18 juin 2009, nouveau gérant : Christophe Donner. Cesse ses activités le 14 mars 2011.
      • L’EURL « L’Eveil de soi », à compter du 15 mars 2011, pour les même activités. Gérante : Djemelas Lebouteiller. Cesse ses activités en octobre 2011.
      • à compter du 3 juin 2011, venant de Algrange (57) où elle est installée depuis avril 2010, Djemelas Lebouteiller, née Ditomène Musunda, exploite une entreprise de conseils en relations publiques et communication. Elle déménage à Montigny-les-Metz (57) à partir du 9 mai 2012.

A la même adresse :

  • à compter du 1er avril 1928, Nicolas Paradis exerce le métier de tailleur d’habits.
  • à compter du 1er mai 1931, Jules Schivre exploite une sablière. Il cesse cette activité le 1er octobre 1932.
  • à compter du 1er mars 2009, Nadine Kleck exploite un commerce de détails de textiles, habillement et chaussures sur éventaires et marchés. Cesse ses activités en décembre 2009.

Au n°11 :

  • à compter du 14 novembre 1994, siège et établissement principal de « TDR Bâtiments », entreprise de charpente, couverture et installations électriques. Gérant : Thierry Francioni. Ouvre un établissement secondaire au n° 70, rue de la République à partir du 1er juillet 1996. Déplace siège et établissement principal au n° 60, rue de Kuntzig à partir du 1er octobre 1996, et quitte la rue de la Culture.
  • à compter du 22 avril 2009, siège social et établissement principal de l’EURL « HSL » activités spécialisées de désign, publicité et marketing. Associé-gérant : Derek Ken RENAULT. Cesse ses activités en août 2009.

Au n°12 :

  • à compter du 1er septembre 2012, Guillaume Fieutelot gère une entreprise de travaux électriques à l’enseigne « Electri’conseil », venant de Freming-Merlebach (57) où il est installé depuis juin 2010.

Au n°16 :

  • à compter du 1er novembre 2006, Carole Rock effectue la coiffure à domicile à l’enseigne « Rock Carol Coiffure ».

Aux nos18/20, anciens nos13 et 14, bâtiment à deux vitrines :

Première vitrine :

    • vers 1914/1915, commerce de boucherie.
    • à compter du 1er juin 2009, établissement secondaire de l’entreprise de travaux de second œuvre, rénovation, cloisons, revêtement de sols, décoration géré par Guy Maiques à l’enseigne « GMI ».L’établissement principal est à Chémery-les-Deux (57). Fermetue de l’établissement de Yutz à partir du 3 mai 2012.

Deuxième vitrine :

  • Jean-Pierre Mohr menuisier.
  • Mohrà compter du 1er juillet 1935, Auguste Mohr, fils de Jean-Pierre, exploite un fonds de menuiserie-ébénisterie. Le 4 décembre 1946, il ajoute l’ameublement, achat et vente de tout article d’ameublement. Les ateliers sont à l’arrière du bâtiment. A compter du 5 décembre 1946, il ajoute la fabrication, l’achat et la vente de mobilier tubulaire et s’installe aux n°1&2, rue du Somp avec les ateliers de menuiserie qu’ils déménagent. Auguste Mohr décède le 1er août 1970 en Autriche. Roland Mohr, son fils, lui succède. Il déménage le siège social au n°122, rue Nationale le 24 octobre 1973.

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A l’arrière du bâtiment :

  • Atelier de menuiserie de Auguste Mohr du 1er juillet 1936 jusqu’au 5 décembre 1946.

Au n°19 :

  • à compter du 1er janvier 1989, établissement secondaire de la SA « Hinckley Kestrel » dont le siège social est en Belgique. Commerce en gros de produits chimiques.
  • à compter du 1er juillet 2009, Jonathan Gebczynski, effectue de la vente à domicile de parfums. Cesse ses activités en mars 2010.

Au n°24, ancien n°11, de la rue de la Forge, construction de 1786 :

Maison natale de François Dupont ancien maire de la ville de 1949 à 1976 et conseiller général.

  • à compter du 1er septembre 2010, Ludovic Rossi exploite une entreprise de maçonnerie générale, travaux d’intérieur, extérieur, isolation à l’enseigne LR-B-T. Cesse ses activité en juin 2011.

Au n°23 :

  • à compter du 1er octobre 1925, Joseph CLEMENT s’installe comme cordonnier, après avoir effectué son apprentissage chez le cordonnier Biacchi et travaillé ensuite dans deux cordonneries à Hayange (57), puis Thionville (57). Il déménage en 1944, pour s’installer au n° 16, rue des Jardins (ancienne rue des Prés).

Au n°27 :

  • à compter du 20 avril 1931, Joseph Thomen effectue des travaux de maçonnerie.
  • à compter du 1er janvier 1946, François Thomen exploite une entreprise de peinture et vitrerie. Il déménage dans les Pyrénées Orientales le 15 décembre 1970

Au n°28 :

  • à compter du 1er mai 1931, François Ludwig est maître-plâtrier jusqu’au 1er avril 1960.

Au n°30, ancien n°16 :

Domicile de François Haag, maître forgeron et maréchal ferrant qui a son atelier à la forge de 1910 à 1942/43.

  • à compter de 1950, Raymond Dupont exploite une entreprise de transports hippomobiles, venant du n°28, rue de la République où il est installé depuis le 21 décembre 1945. Cesse ses activités en 1953.

Au n°31 :

  • à partir de 1910, Louis Noiré est maître charpentier. Il cesse ses activités vers 1927.
  •  à compter du 15 octobre 1929, Ricard exploite une entreprise de récupération de matières premières et classement des chiffons.
  • à compter du 20 octobre 1923, Etienne Hotton exploite un atelier de cordonnerie à temps partiel. Il cesse ses activités à partir du 3 novembre 1930.
  • vers 1927, Ferdinand Braun exerce le métier de charron. Il cesse vers 1937.

Au n°32 :

  • à compter du 13 novembre 1935, Roland Strubel exploite un commerce de vente de charbon, pommes de terre, graines. Il cesse le 8 juin 1938.
  • à compter du 11 février 1938, Célestine Wittmann est commerçante ambulante.
  • à compter du 7 janvier 1938, Aloyse Wittmann exploite un commerce de réparation de parapluies en ambulant installé derrière le chantier Pinck. Il cesse en 1949.
  • à compter du 25 février 1947, venant de Haute Ham (57) où elle est installée depuis le 18 novembre 1936, Madame Alphonse Gyss, née Joséphine Sécula, exploite un commerce de mercerie en ambulant. Elle cesse le 1er juillet 1952.
  • à compter de 1946, Louis Neigert est marchand de chiffons, peaux et ferraille. Il cesse ses activités en 1950.
  • à compter du 1er mars 1949, Henri Neigert est marchand de chiffons, peaux et ferraille. Installé derrière le chantier Pinck, il déménage au n°21, rue du Canal à partir du 1er mars 1971.
  • à compter du 1er juillet 1950, Max Wittmann exploite un commerce d’achat et vente de vieux matériaux, peaux, fer et métaux. Il cesse ses activités le 10 septembre 1976.
  • à compter du 1er avril 1956, François Wittmann (cousin de Max Wittmann), exploite un commerce d’achat et vente de vieux matériaux en ambulant. Cesse le 1er janvier 1961 pour cause de maladie et décède le 24 janvier 2002.

Au n°33 :

  • Extrait du journal « Le Basse-Yutzois » du
    26 février 1926.

    à compter du 24 août 1923, Henri Lommel fait commerce de pommes de terre, bois et charbon. A partir du 1er septembre 1925, il s’installe au n°104 (ancien n°68) rue Nationale pour exploiter le débit de boisson à l’enseigne « Café de Paris », tout en continuant son commerce de bois et charbon. Il cesse l’exploitation du débit de boisson le 1er juin 1933 et quitte ce chantier en 1934 pour s’installer au n°133, Grand’Rue.

Au n°35, ancien n°14 :

  •  à compter du 1er janvier 1933, Jean-Pierre Hées exploite un salon de coiffure. Il cesse le 10 janvier 1946, date à laquelle il transmet le fond à l’un de ses fils Joseph.
  • à compter du 24 mai 1938, Joseph Hées, son fils, exploite une épicerie laiterie dans une pièce de sa maison jusqu’au 25 janvier 1939.
  • à compter du 25 janvier 1939, Jean-Pierre Hées, reprend le commerce d’épicerie jusqu’au 14 octobre 1940. Le 19 mars 1941, les armées d’occupation lui proposent de choisir entre la nationalité allemande ou française. Ayant opté pour cette dernière, il est évacué, le 25 avril 1941, avec toute sa famille, sauf Joseph, vers Saint-Bonnet-de-Joux (71). Il y demeure jusqu’à son retour à Yutz le 3 août 1945. Alfred Hées, un de ses fils, est emprisonné du 19 mars au 20 avril 1941 pour avoir manifesté des sentiments pro-français devant l’occupant allemand. Libéré, il est évacué en même temps que sa famille. Il s’engage le 19 septembre 1941 pour trois ans dans l’armée, et effectue la campagne d’Algérie. Libéré, il revient en Saône et Loire, puis à Yutz le 3 août 1945. Il reprend l’exploitation d’un salon de coiffure au n°37. Joseph, n’ayant pas opté pour la nationalité française, reste à Yutz. Il est déporté en Silésie jusqu’en 1943. Libéré, il rejoint sa famille réfugiée. Jean-Pierre transmet son fonds d’épicerie, (c’est-à-dire la maison), par donation à ses deux enfants, Joseph et Alfred le 22 janvier 1960.
  • à compter du 20 août 1945, Jean-Pierre exerce le métier de tailleur de pierres et entrepreneur de maçonnerie. C’est lui qui construit la villa « Hélène » au n°4, rue de la Culture et qui restaure le bildstock du n°145, Grand’Rue.

Au n°36, ancien n°31 :

  • à compter du 1er septembre 1932, Antoine Pinck exploite un atelier de récupérations fers métaux et chiffons. Il en fait donation à son fils Armand le 31 décembre 1964
  • à compter du 1er janvier 1965, Armand Pinck reprend les activités de son père, récupérations fers métaux et chiffons.
  • à compter du 1er janvier 1974, siège social de la  SARL « Pinck et Cie », ancienne entreprise Pinck, négoce de ferrailles et métaux de récupération et de démolition d’usines. Gérant : Christian Pinck. A partir du 10 janvier 1974, Armand Pinck cesse ses activités. Le 15 septembre 1975, ouverture d’un établissement secondaire à Moyeuvre-Grande (57) , Pinck et Cie. En 1979, la société est considérée comme insalubre et induisant des nuisances par la municipalité. Christian Pinck menace de déménager. Le 9 juillet 1996, transfert du siège social à Moyeuvre (57) qui devient établissement principal et celui de Yutz secondaire. Nouvelle dénomination : « Polder ». Le 18 décembre 1997, fermeture de l’établissement secondaire de Yutz. Fin d’activité de la société Polder le 19 février 1998. Vente du fonds à « Recyclage 2000 », le 4 août 1998, nouvelle société dont le siège est à Moyeuvre (57) pour exercer la même activité.

Au n°37, ancien n°14a :

  • le 3 août 1945, Joseph Hées rejoint Yutz venant de Saône et Loire où il avait été évacué, pour exploiter un salon de coiffure, articles de parfumerie à partir 1er septembre de la même année. A partir du 22 janvier 1960, il est co-propriétaire avec son frère Alfred qui met les locaux à sa disposition suite à la donation de Jean-Pierre Hées. Joseph Hées cesse toute activité le 31 décembre 1980.

Au n°38a :

  • à compter du 1er janvier 2011, venant de Veckring (57) où il est installé depuis le 21 janvier 1998, Grégory Garriga effectue du transport de voyageurs par taxis, à l’enseigne «Taxi Gregg». Etablissement secondaire à Veckring (57) fermé le 3 mars 2011.

Au n°40, ancien n°30 :

  • à compter du 31 décembre 1933, Umberto Mizzon exploite une entreprise de bâtiments et terrazzo. A partir du 15 mars 1947, il modifie l’intitulé de son entreprise de terrassement, maçonnerie, bâtiments, pierres funéraires. A partir du 1er juillet 1963, il ajoute le transport et déménage au n°153, rue Nationale.

Au n°42 :

Cadastre d’implantaton du lavoir de la rue de la Culture et l’ancienne chapelle.

Cadastre d’implantaton du lavoir de la rue de la Culture et l’ancienne chapelle.

Un lavoir existe dans le milieu de la rue jusque dans les années 1965, où il est détruit à l’occasion des travaux d’assainissement nécessités par le lotissement de l’aérodrome. Il comporte 3 bassins alimentés par une source et sert également d’abreuvoir. En mai 1842, le conseil municipal donne accord pour l’adjonction d’une auge à l’abreuvoir communal.

Source : archives départementales de la Moselle.

Source : archives départementales de la Moselle.

Extrait du mémoire rédigé par Louis de Cormontaigne en 1746 sur la nécessité de raser les trois villages de Haute-Yutz (ancien emplacement), Basse-Yutz et Macquenom pour les réunir en un seul afin que les maisons ne servent pas d’appui aux assaillants quand les fortifications de Thionville seront agrandies. Cela ne se fera jamais.

9°) :
de la Chapelle située sur la rue du

nouveau canal hors de la Basse-Yutz.

Il y a actuellement une petite église ou chapelle de dévotion située à l’entrée du village de la Basse-Yutz, sur le bord du Canal, avec un clocher et une enceinte de muraille, il est indispensable de raser le tout, sauf aux intéressés à veiller au déplacement et remplacement si bon est, à coté du village.

La chapelle tombera en ruine.

  • à compter du 6 juin 2007, Joséphine Noëlle Gratz effectue de la coiffure à domicile à l’enseigne « Ng Coiffure »coiffure à domicile. Cesse ses activités le 21 janvier 2010.

Entre rue de la Culture et la rue de la Barrière :

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Le 15 janvier 1925, la Société des « Raffineries de Pétrole du Nord » dont le siège social est à Wasquehal (59), demande l’autorisation d’implanter un dépôt de liquide inflammable de 150 000 litres. Le chantier doit comprendre un hangar, le dépôt, deux remises et un bureau et se trouve situé dans les jardins, entre la rue de la Culture et le chemin qui est maintenant la rue de la Barrière. Il est desservi par un embranchement du Chemin de Fer.

Extrait du journal "Metzer Freiss" du 25 septembre 1925. Source : archives départementales de la Moselle.

Extrait du journal « Metzer Freiss » du 25 septembre 1925. Source : archives départementales de la Moselle.

Le 27 février 1925, le conseil municipal émet des réserves, mais la commission chargée de statuer sur « les établissements classés dangereux, insalubres ou incommodes », émet un avis favorable par arrêté préfectoral du 3 septembre 1925. Dans la mesure où toutes les précautions légales concernant ces chantiers sont respectées, il n’y a pas de raison de refuser l’installation, mais de lister toutes les contraintes dans l’arrêté.

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