Rue Victor Hugo

 

Au n°2 :

Louis Ritry construit et exploite le fonds de café hôtel restaurant. Il devient loueur de fonds à partir de 1934. Il loue :

  • à compter du 23 novembre 1934, à Maximillien Rado, venant de Métrich (57) où il est installé depuis le 1er octobre 1931, qui exploite un commerce d’épicerie. A partir du 27 novembre 1937, exploite l’hôtel-restaurant « l’Union ». Il cesse ses activités à partir du 28 novembre 1944.
  • à compter du 1er juillet 1945, à René Loechleiter qui exploite un café-restaurant à l’enseigne « Café de l’Union ». Il cesse ses activités à partir du 30 avril 1948.
  • à compter du 1er juin 1948, à Robert Bieber qui exploite le café hôtel restaurant. Le 23 mai 1949, il fait commerce de beurre, oeufs, fromage au détail. Il cesse l’exploitation du débit de boisson le 15 juillet 1952. Le 15 avril 1953, il ouvre un établissement secondaire de laiterie crémerie au n°99, rue Nationale.
  • à compter du 1er août 1952, à Liliane Marx pour l’exploitation du « Café de l’Union ». Elle cesse à partir du 1er avril 1953.
  • à compter du 1er avril 1955, à Robert Bieber qui reprend l’exploitation du café-hôtel-restaurant en établissement principal, l’établissement secondaire est au n°99, rue Nationale. Il cesse ses activités à partir du 1er février 1958. A partir du 30 avril 1955, Louis Ritry fait donation de son établissement à sa fille Georgette, épouse Marcel Calmus.
  • à compter du 1er mai 1955, Madame Marcel Calmus, née Georgette Ritry, exploite le café-hôtel-restaurant à l’enseigne « Café de l’Union ». Elle décède le 27 mars 1973. L’exploitation est reprise par son mari, Marcel Calmus, jusqu’au 18 août 1987, où il devient loueur de fonds et loue :
    • à compter du 1er septembre 1987, à Bernard Reinhardt qui exploite un café-restaurant à l’enseigne « Café de l’Union ». Il cesse ses activités en août 1988.
    • à compter du 3 septembre 1988, à Madame Gérard Juppont, née Sylvie Lenoir, qui exploite le « café de l’Union ». Elle cesse le 30 avril 1989.
    • à compter du 7 août 1989, à André Komarski qui exploite le débit de boisson jusqu’au 30 juin 1990.
    • à compter du 1er août 1990, à René Saint Fiacre qui exploite le « Café de l’Union ». Il arrête son exploitation à partir du 1er juillet 1992 et déménage le 2 octobre de la même année pour exploiter le café à l’enseigne « Au Chardon Lorrain », au n°16, rue de la Moselle.
    • à compter d’octobre 1991, à Christophe LOUIS qui exploite le débit de boisson. Il cesse ses activités en 1994.
    • à compter du 12 décembre 1994, à Christian Marchesseau qui exploite le « Café de l’Union ». Il cesse ses activités en juin 1996.

Le 26 juin 1996, réouverture provisoire du « Café de l’Union « par le propriétaire Marcel Calmus.

    • à compter du 28 juillet 1996, à Madame Wechtler, née Monique Gobeau qui exploite le « Café de l’Union ». Elle cesse ses activités en février 1997.
    • à compter du 5 août 1999, à Gino Monteleone qui exploite le débit de boisson à l’enseigne « Daytona café ». Il cesse ses activités à partir du 27 août 2009.

Dans les appartements :

  • à compter du 1er août 2004, Yves ANDRES exploite une entreprise de peinture, vitrerie, revêtement de sols. A partir du 1er août 2015, déménage à Herserange (54).

Au n°2bis :

  • à compter du 1er avril 2010, Mathilde Felt gére une agence immobilière.

Au n°6 :

  • à partir de 1976, Gabriel Schmitt exploite une société technique et mécanographique, réparation de machines à écrire. Il cesse à partir du 5 mai 1986.
  • à compter du 1er mai 1995, Gabriel Schmitt exploite une entreprise de travaux de maçonnerie, construction de maisons individuelles à l’enseigne « Ravalest ». Il cesse ses activités à partir du 13 février 1997.
  • à compter du 1er mai 1998, siège social et établissement principal de la SARL « RavalEst », travaux de maçonnerie, construction de maisons individuelles, gros oeuvre. Gérante : Gabrielle (fille de Gabriel) Schmitt. Cesse ses activités à partir du 11 septembre 2003.

Au n°8 :

  • à compter du 15 mars 1953, André BENRD exploite un atelier de mosaïste. L’ouverture est prévue le 3 décembre 1952 mais a été retardée par manque de travail. Il cesse à partir du 30 décembre 1953.

Au n°10 :

  • à compter du 11 mai 1947, René Kichenbrand exploite un atelier de peintre-vitrier. Il cesse ses activités à partir du 18 mai 1947. Il décède le 24 janvier 1992. Son entreprise est reprise par son épouse, née Erna Matter, à partir du 15 mai, qui s’installe au n°35, rue de Macquenom (ancien n°13, rue des Jardins).
  • à compter du 3 septembre 1982, Gino Bertelli exploite une entreprise d’électricité générale, matériel de sécurité mécanique et électronique, à l’enseigne « SECURELEC ». Il cesse ses activités à partir du 17 avril 1993.

Au n°14 :

  • à compter du 1er janvier 1969, atelier de réparations automobiles, carrosserie, peinture à temps partiel exploité par Désiré Zimmermann jusqu’au 31 décembre 1979. Il rouvre son atelier à partir du 2 mai 1984 pour le fermer le 15 novembre 1985.

Au n°18 :

  • à compter du 15 avril 1946, Frédéric Kaufholz exploite un atelier de menuiserie. Il cesse ses activités à partir du 18 août 1949 pour prendre un emploi salarié à la SNCF.
L’école Victor Hugo en 2011.

L’école Victor Hugo en 2011.

La construction de l’école est prévue dès 1908. En attendant, les écoliers sont logés dans 2 classes situées dans les bâtiments-école des apprentis dans l’enceinte des ateliers des chemins de fer d’Alsace Lorraine. En 1926, on dénombre deux classes pour les élèves catholiques dont l’effectif atteint 135 enfants et une pour les élèves protestants. Le conseil municipal s’oppose à l’installation d’une 3ième classe dans les locaux ateliers er exige la construction de l’école. Les enfants sont répartis dans les écoles du centre ville.
L’école Victor Hugo est inaugurée le 3 février 1929. Elle permet aux écoliers de la cité d’être scolarisés dans de meilleurs conditions et dans un établissement plus proche de leur domicile parental.

Extraits du journal Trait d’Union.Rédacteur : Albert Liebnau.

Au n°21 :

  • à compter du 16 janvier 2000, Tamer BAYTIMUR exploite une entreprise de maçonnerie et plâtrerie venant du n°9, rue de Bretagne où il est installé depuis le 2 juillet 1998. Cesse ses activités à partir du 30 septembre 2002.
  • à compter du 4 novembre 2002, siège social et établissement principal de la SARL « Bati l’est », travaux de maçonnerie générale. Gérant : Madame Tamer BAYTIMUR, née Gennet TOPAL. Déménage au n°19, rue Jean François Lamour, à partir du 26 juillet 2004.

Au n°26 :

  •  à compter du 1er avril 2010, Laurent Nillés effectue des travaux d’exploitation forestière. il n’a jamais commencé cette entreprise.
  • à compter du 15 mai 2015, Elodie Nillés effectue de la vente à domicile de produits Akéo.

 

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