Au n°71, ancien n°40 :
- R.Bader, exploite un atelier de vente et réparation d’objet d’horlogerie et de bijouterie avant d’aller au n°42, rue de la Moselle à partir du 1er avril 1927.
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à compter du 1er mai 1927, Jacques Heitz exploite une horlogerie bijouterie. La publicité précise : un grand choix pour hommes et dames à tous les prix, carillons Ave Maria, or, argenterie, appareils musicaux, réparations immédiates par des professionnels. Le 1er août 1933, il ouvre un second magasin au n°55, (ancien n°28a) rue Nationale, qu’il ferme le 21 novembre 1940. Le bâtiment est détruit dès le 10 mai 1940 pendant la seconde guerre mondiale
A l’arrière du bâtiment :
- à compter du 12 février 1927, teinturerie exploitée par Emile Tinturier à l’enseigne « Teinturerie Thionvilloise ». Il cesse ses activités le 6 juin 1930.
- à compter du 17 juin 1930, Paul Bouillet reprend le fonds de commerce de teinturerie.
- à compter de 1934, venant du n°69 (ancien n°35) Grand’Rue où il est installé depuis le 14 mai 1926, Alphonse GERARD exploite un atelier de cordonnerie. Il cesse ses activités à partir du 1er février 1949.
Le bâtiment est reconstruit après la guerre et comporte deux entrées :
Première entrée :
- à compter du 15 mars 1965, venant du n°86, Grand’Rue où il est installé depuis le 1er avril 1961, André Vonner exploite un commerce de vente de chaussures et de produits d’entretien. Son atelier de cordonnerie est situé à l’arrière du bâtiment. A partir du 1er décembre 1976, ajoute la vente de confection, Centre Indépendant de Distribution à l’enseigne « CID Shop ». Achat, vente, réparation de chaussures, bonneterie, confection hommes, dames et enfants. A partir du 15 août 1977, il devient loueur de fonds et crée la SARL « CID Shop », pour la même activité. Associés : André Vonner, Raymond Lapouge, Salvatore Marino. Gérant : André Vonner. Ils cessent leurs activités à partir du 22 mai 1980 et la société est dissoute à partir du 1er janvier 1992.1
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à compter du 7 septembre 1981, Madame Daniel Gonzalès, née Liliane Granjean, exploite institut de beauté, vente de produits de beauté et accessoires à l’enseigne « Lady L ». A partir du 1er juillet 1983, ajoute des cabines de soins esthétiques et un solarium. Elle cesse ses activités et est radiée à partir du 31 mai 1986.
- à compter du 1er juin 1986, Mademoiselle Marie-Thérèse Passeri exploite institut de beauté, vente de produits de beauté et accessoires, colifichets et parfumerie, cabines de soins esthétiques et solaires à l’enseigne « Parfumerie Lady L ». Elle cesse ses activités à partir du 31 mai 1990.
- à compter du 1er octobre 1992, Assunta Grunfelder, née Scicione, exploite un atelier de retouches de vêtements à l’enseigne « Couture Tina ». Elle cesse ses activités à partir du 31 décembre 1997. En 2000, achète les locaux pour en faire un magasin de stockage.
Deuxième entrée :
- Jacques Heitz reprend ses activités à partir du 21 mars 1946. Il ajoute l’optique et lunetterie à partir du 19 avril 1951. Il cesse ses activités à partir du 1er juillet 1962.
- à partir de 1964, succursale de la banque SOGENAL (SOciété GEnérale d’ALsace Lorraine) qui déménage au n°67 à partir du 20 août 1990.
- à compter du 1er décembre 1990, SARL « Aux délices de Capoue », traiteur, épicerie fine, plats à emporter, vins fins, champagne. Gérant : Jérôme Gandoin. Il cesse ses activités à partir du 20 octobre 1992.
- à compter du 3 janvier 1994, siège social et établissement principal de la SARL « Aux délices de Capoue Italia », traiteur. Sont associés : Mme. Anne Ciszewicz et MM. Gérald et Jean-Claude Ciszewicz. Gérant : Gérald Ciszewicz. Toutes activités de production en gros, ½ gros et détail se rattachant à la gastronomie et la restauration en général. Il cesse ses activités à partir du 15 décembre 1997.
- à compter du 15 décembre 1997, venant de Florange (57) où il est installé depuis le 2 mars 1992, exploite un fonds de cuisinier-traiteur.
- à compter du 1er décembre 2007, siège social de l’EURL « Jolivalt Traiteur », cuisinier traiteur.
A la même adresse :
- à compter du 9 avril 2001, Eric Peycelon fait commerce d’emballages à l’enseigne « Peycelon emballages ». Il cesse le même mois.
Au n°72, ancien n°47 :
- à partir du 17 avril 1929, venant du n°25, rue de la République où il est installé comme maréchal ferrant, forgeron depuis le 1er août 1923, Armand Halter souhaite installer un générateur à acétylène dans une ancienne étable transformée en atelier. Cette installation fait partir des établissements classés et nécessite une autorisation préfectorale. Après plusieurs relances de la municipalité, Armand Halter fait la demande le 14 décembre 1929. La commission émet un avis favorable le 21 mai 1930 et le préfet le 3 juillet paru dans le journal Lothringen Volkszeitung, la libre Lorraine du 12 septembre 1930.
- à compter du 1er janvier 1933, les époux François Bouché et Madame née Félicie Putas, venant du n° 54 (ancien n°33), Grand’Rue,où ils sont installés depuis le 1er décembre 1929, exploitent un fonds d’épicerie fine, vin et liqueurs à emporter. François décède le 25 décembre 1950. Son épouse cesse le commerce et devient loueuse de fonds le 1er janvier 1951. Madame Veuve François Bouché-Putas, née Félicie Putas, devient loueuse de fonds et loue :
- à compter du 3 septembre 1951, à René Jung qui exploite un commerce de mercerie-bonneterie, chemiserie à l’enseigne « Bonneterie du centre ». A partir du 30 octobre 1952, ajoute la vente en sédentaire et ambulant. Il cesse ses activités le 31 décembre 1965.
- à compter du 7 mars 1966, à Madame René Schwartz, née Odile Fousse, qui exploite en un commerce de mercerie-bonneterie, dépôt de teinturerie à l’enseigne « Laine Phildar ». Elle cesse ses activités à partir du 13 septembre 1967.
- à compter du 27 octobre 1967, aux Etablissements « S. Perrot et Cie », pour le commerce de vente au détail de quelque matière que ce soit, de tous les articles d’habillement, tissus, bonneterie, mercerie, et tout article de textile. Gérant : Serge Perrot. Sont associés : Serge Perrot, Henri Zaguar, Francis Kozina.
- à compter du 27 janvier 1966, à Madame René Schwartz jusqu’au 4 septembre 1967. Le siège est transféré à Joeuf (54), à partir du 30 juin 1968.
Madame Veuve François Bouché-Putas vend le fonds.
- à compter du 1er août 1968, Madame Nicolas Menegaz, née Josette Humbert exploite un commerce de mercerie-bonneterie, dépôt de linge, tricot de laine à l’enseigne « Phildar ». Elle cesse ses activités à partir du 31 août 1971.
- à compter du 15 janvier 1972, commerce de laine et tricots à l’enseigne « Laine Phildar », exploité par Madame Veuve ANTOINE, née Nicole Durin, remariée Wax, à l’enseigne « de fil à fil ». A partir du 1er janvier 1983, elle ajoute le tricotage à la main. Elle cesse ses activités à partir du 31 octobre 1990.
- à compter du 21 novembre 1990, SARL « Electro-Tec Assistance », vente, dépannage télévision, HIFI, radio, électricité générale. Gérant : Antoine Covelli. Cesse ses activités à partir du 5 août 1992.
- à compter du 1er juillet 1993, « La maison du bon tissu » exploitée par Madame Alexandre Brault, née Marie-Angèle Frantz, venant du n° 61 où elle est installée depuis le 1er janvier 1977. Elle cesse ses activités à partir du 8 mai 1995.
- à compter du 2 avril 1996, création et ouverture du laboratoire d’analyses médicales Girondel (SARL). Gérant : Francis Girondel. Devient société Evolab.
- à compter de mai 1996, établissement secondaire du regroupement de laboratoires d’analyses médicales à l’enseigne « EVOLAB » dont le siège social est au n°93, rue du président Roosevelt depuis mars 1986. Co-gérants : Pascal Boulard, Frédéric Wehe, Francis Girondel, Dominique Caby Baer, Bernard Bize et Madame Evelyne Ackermann, née Pourtieux.
- à compter du 9 mars 2010 devient EVOSANTE, siège social à Thionville (57) depuis le 9 mars 2010. Co-gérants : Yves Houppert, Christiane Nass, Christelle ANTOINE. Fin d’activité le 30 janvier 2012. Le laboratoire est repris par la société « EVOLAB » en établissement secondaire, le siège social est à Thionville (57) depuis le 11 avril 1957.
Au n°73, ancien n°42 :
- à compter du 15 février 1924, Madame Valentine Leblanc excécute des travaux de broderie. Elle déménage à Erzange (57).
- à compter du 1er avril 1933, Entreprise de peinture et décoration à l’enseigne « Mahrens et Kiffer ». Co-gérants : Pierre Mahrens et Pierre Kiffer. La société est dissoute à partir du 9 octobre 1933.
Au n°74, ancien n°48 :
- à compter du 1er janvier 1928, Charles Lutz exploite un atelier de serrurerie à temps partiel.
- à compter du 15 février 1968, venant du n° 77, rue Nationale, où il est installé depuis le 15 avril 1960, Photo-ciné Henri Hein. Travaux photographiques sous toutes ses applications, vente de matériel photographique et cinématographique, optique, cadres, photos, encadrements. Sur le terrain libre à l’arrière du bâtiment Henri Hein construit un nouveau studio domicilié au 2a, rue saint Vitus dans lequel il emménage en août 1986.
- à compter du 13 octobre 1986, en location, venant du n°57, rue Nationale, établissement secondaire de BPLC (Banque Populaire de Lorraine Champagne) dont le siège à Metz (57) depuis le 26 septembre 1956. La BPLC achète le bâtiment le 31 mars 1995 à Henri Hein qui cesse ses activités.
Au n°76 ancien n°51 :
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à partir du 15 février 1923, boucherie-charcuterie exploitée par Pierre Schoumacher. Spécialités : charcuterie, jambons, viandes de premier choix. Il cesse ses activités à partir du 31 décembre 1928.
- à compter du 1er janvier 1929, René Schoumacher exploite un commerce de boucherie-charcuterie. Il cesse ses activités le 30 juin 1931.
- à compter du 1er juillet 1931, François Foulot exploite un commerce de boucherie-charcuterie. Il cesse ses activités et est radié le 11 septembre 1947.
- à compter du 1er novembre 1945, boucherie-charcuterie Louis Volkringer. Il cesse ses activités à partir du 31 mars 1967.
- à compter du 1er avril 1967, boucherie-charcuterie Albert Balant et Jacqueline Schouler. A partir du 24 novembre 1967, demandent l’autorisation de vente en ambulant. Cessent leurs activités à partir du 28 mai 1973.
- Cabinet dentaire.
Au n°77, ancien n°45 :
Bâtiment à deux entrées :
Première entrée :
- à compter de 1903, établissement de restauration exploité par Karl Maritus à l’enseigne Maritus-Breistroff. Il cesse ses activités en 1923.
- Il est repris à partir du 19 mai 1923 par Louis Stoufflet jusqu’au 15 février 1928.
- à compter du 15 février 1928, Martin Becker exploite le débit de boisson jusqu’au 1er avril 1929.
- à compter du 1er mai 1929, Auguste Murer exploite le débit de boisson. A partir du 16 août 1929, il fait commerce de pommes de terre jusqu’au 15 décembre 1929. Il cesse l’exploitation du débit de boisson le 1er octobre 1930.
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à compter du 15 octobre 1930, Hilaire Wenner exploite le café restaurant jusqu’au 1er février 1946.
- à compter du 23 février 1946, Albert FRANCK exploite le café à l’enseigne « A la ville de Paris ». A partir du 29 juin 1950, il loue des chambres meublées. Il cesse ses activités à partir du 1er juin 1951.
- à compter du 1er juin 1951, Madame Veuve Friser, née Marie Celette, exploite le « Café de Paris » et y loue des chambres meublées. Elle cesse ses activités à partir du 24 mars 1953.
- à compter du 1er avril 1953, débit de boisson exploité par Madame Etienne Nowicki, née Séverine Kazmierczak. Elle cesse ses activités à partir du 7 mai 1954.
- à compter du 1er juillet 1954, débit de boisson et hotel à l’enseigne « Café de Paris » exploité par Madame Guillaume Ritt, née Stéphanie Kazmierczak, jusqu’au 1er novembre 1957 où elle vend le fonds.
- à compter du 6 juin 1959, débit de boisson exploité par Madame Antoine Vavassori, née Clémence Filippi-Blolfe jusqu’au 31 décembre 1964 où elle vend le fonds.
- à compter du 28 décembre 1964, débit de boisson à l’enseigne « Café de Paris » exploité par Jean Gosset. Il cesse ses activités à partir du 7 avril 1998.
- à compter du 1er mai 1998, Madame Jean Gosset, née Jeannine Krémer exploite le « Café de Paris ». Elle cesse ses activités et est radiée le 13 février 2001.
- à compter du 1er février 2001, Mademoiselle Rachel Sakhri achète le fonds de café bar restaurant à l’enseigne « Café de Paris ». Fin d’exploitation le 14 février 2008.
- à compter du 9 mars 2012, venant du n°55, où il est installé depuis le du 31 décembre 2001, siège social et établissement principal de la SARL « Press’Net ». Travaux de pressing, nettoyage à sec, travaux de couture et retouches, location de linge de maison à l’enseigne « Pressing Albert 1er ». Livraison à domicile. Gérant : Gilles Brach. Ajoute une laverie automatique. Etablissements secondaires à Mont-Saint-Martin (54), Hauconcourt (57) fermé le 24 novembre 2015, Metz (57) et Thionville (57).
Deuxième entrée :
La grange existente est aménagée en 1959 pour être transformée en fonds de commerce.
- à compter du 15 avril 1960, Photo-ciné Henri Hein en location. Travaux photographiques sous toutes ses applications, vente de matériel photographique et cinématographique, optique, cadres, photos, encadrements. Il déménage au n° 74, rue Nationale à partir du 15 février 1968.
- à compter du 1er mars 1968, Gabriel Magard transfère le commerce de ses parents qui se trouve au n°22, Rue Marie-Louise depuis le 19 février 1946, pour la vente de couleurs, vernis, papiers peints, produits d’entretien et revêtements de sol. Il ferme et vend le fonds le 28 février 1973 pour s’installer au n°1a, rue de Verdun.
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à compter du 26 mars 1973, Madame Roland Baué, née Monique Paulus, exploite un commerce de peinture, papiers peints et accessoires au détail. Elle cesse le commerce de papiers peints à partir du 30 avril 1976. A partir du 2 juin 1976, elle ouvre un commerce de mercerie, laine et chaussettes à l’enseigne « Pingouin-Stem ». Elle cesse ses activités le 13 avril 1985.
- à compter du 16 avril 1985, Madame Pierre Burnot, née Josette Lemaire achète et exploite un commerce de vente de laine, chaussettes et mercerie à l’enseigne « Pingouin mercerie ». A partir du 21 avril 1986, elle ajoute la vente de collants et tricotage fait à la main. Elle cesse ses activités à partir du 30 septembre 1988, devient loueur de fonds et loue à :
- à compter du 1er octobre 1988, à la SARL « Mercerie laine 2000 ».Vente au détail de mercerie, laine, chaussettes, tricot, bonneterie, machines à coudre et à tricoter, tous appareils ménagers, réparations.Gérant : Alain Junger qui cesse ses activités àa prtir du 31 décembre 1988. A partir du 12 février 1990, Madame Pierre Burnot, née Josette Lemaire reprend ses activités comme gérante. A partir du 19 mars 1993, elle ajoute les retouches et le tricotage de vêtements. Le 30 juin 1995, dissolution anticipée de la société.
- à compter du 1er juillet 1995, Madame Pierre Burnot, née Josette Lemaire exploite un commerce de vente au détail de mercerie, laine, chaussettes, tricot, bonneterie, machines à coudre et à tricoter, tous appareils ménagers, réparations. Elle cesse ses activités en décembre 2000. Des travaux sont entrepris pour transformer l’intérieur du fonds de commerce en pizzeria.
- à compter du 3 février 2002, commerce de pizzas, salades et boisson à emporter à l’enseigne « Mama Mia ». Gérant : Bruno Valente depuis le 26 juillet 2004.
A la même adresse :
- à compter du 9 octobre 1928, Eugène Maritus exploite une sablière.
- à compter du 1er janvier 1933, Léon Gerigault exploite une entreprise de camionnage. Il cesse ses activités à partir du 1er mai 1940.
Au n°78, ancien n°56a :
- avant 1914, Joseph et Johann Schwarz exploitent un studio de photographie.
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à partir de 1924, Michel Schwarz exploite un atelier de prise de vues photographiques pour portrait, groupe, photos sur toiles avec correction à la peinture. Grand choix d’encadrements de toutes formes, rond, ovale, carré, rectangulaire.
- à partir 6 décembre 2007, siège social et établissement principal de l’EURL « Cris Cars Luxe », commerce de voitures automobiles, dépôt vente, suivi sur Internet, entretien. Gérant : Christopher BLAS.
Au n°79, ancien n°46 :
- à compter du 15 décembre 1975, ouverture d’un établissement secondaire de SA « Foucray Alsace », siège social à Saint Remy de Provence (13) depuis le 1er novembre1974. Vente en gros et au détail de papiers peints, droguerie et accessoires. Gérant : Charles Jaeg. Disparition de « Foucray-Alsace » par absorption de Foucray SA à partir du 10 juillet 1987. De très nombreuses autres succursales ferment leurs portes dans la région : Jarny, Terville, Dommartin-les-Toul, Saint-Avold, Strasbourg (2), Woippy, Moulins-les-Metz, Fameck, Hagueneau, Moyeuvre-Grande.
- à compter du 1er octobre 1990, venant de Thionville (57) où elle est installée depuis le 1er juillet 1989, SARL « Styl’Cuisine ». Agencement, décoration, conseil en cuisines et salles de bains intégrées en location-gérance. Gérant : Etienne Gerberon. Dispose d’un atelier de stockage d’abord au n°2, rue du Somp puis au n°11, rue Clément Ader, dans la zone actypôle depuis 2004. Déménage à Basse-Ham (57) à partir du 3 avril 2012.
Bonjour,
c’est avec plaisir que je parcours votre site .
Je travaille sur mes ancêtres, et ma famille venant de Yutz et Thionville. j’y retrouve quelques souvenirs, merci.
Je me permet de vous signaler que mon grand- père THIL ADOLPHE était le fondateur du ‘billard (club) » à yutz.
cordialement