Rue Marie-Louise

 

La Rue Marie-Louise, (ancien chemin privé appartenant à Joseph Gack, baptisée également rue Gack ou Gackstrasse) et la rue saint Vitus, sont tracées en même temps, vers 1929.
Le tracé traverse le jardin de Joseph Gack. Le conseil municipal du 23 janvier 1928 donne son accord pour acquérir la surface nécessaire au prix de 700F l’are.
Monsieur Joseph Gack est entreprenant et construit, sur des terrains lui appartenant, la plupart des maisons de la rue Marie-Louise dont certaines sont vendues. Il effectue en même temps les travaux de viabilité correspondants, égouts, trottoirs.
Richard Wagner Strasse pendant l’occupation allemande de la dernière guerre.

Au n° 9 :

  • à compter de juillet 2013, siège social de la SARL « DGM Conseils » venant de Roussy-le-Village (57) où il est installé depuis janvier 2013. Entreprise de gestion patrimoniale. Gérant : Maxime Gouvernel. Cesse ses activités à partir du 7 octobre 2014.

Au n°11 :

  • à partir du 27 août 1974, venant du n°63 (ancien n°31a), Grand’Rueoù il est installé depuis le 16 février 1946, Jean Magard transfère ses ateliers de menuisier-ébéniste bâtiment et meubles, magasin d’exposition de cercueils. Il cesse ses activités le 31 décembre 1979 et devient loueur de fonds.
    • à partir du 1er janvier 1980, location de l’atelier de menuiserie ébénisterie, fabrication et vente de cercueils à la SARL « Société d’exploitation de l’entreprise Magard » dont le siège social est au n°16. Gérant : André Magard. Le 1er janvier 1988, devient « Etablissement Magard ». A partir du 1er novembre 2000, dissolution de la société.

Au n°12 :

  • Joseph Gack, propriétaire, loue successivement :
    • à compter du 1er février 1932, à Pierre BERNARD qui exploite un café-hôtel-restaurant à l’enseigne « Hôtel restaurant Moderne ». Il cesse ses activités 1er juin 1947.

      Extrait du programme des cérémonies du souvenir français du 11 novembre 1937.

    • à compter du 7 décembre 1933, à Louis Leblanc qui exploite un café, pension, cordonnerie, chaussures, crêpes et accessoires. Il cesse ses activités à partir  du 7 janvier 1936.
    • à compter du 15 juin 1933, à Madame Veuve Jean Burger, née Tousch, qui exploite le débit de boisson à l’enseigne « Café Moderne ». Elle cesse ses activités le 16 septembre 1947.
    • à Mina Banck qui exploite le restaurant. Elle déménage en Allemagne à partir du 1er septembre 1944.
    • à compter du 25 octobre 1947, à Madame Bruno Baf, née Marie Tousch, qui exploite le café-restaurant avec chambres meublées, à l’enseigne « Café Moderne  »  Elle cesse ses activités à partir du 1er avril 1953.
    • à compter du 8 avril 1953, à Madame Schram, née Yvette Bardelang, qui exploite un café-hôtel- restaurant. Elle cesse son exploitation à partir du 14 novembre 1954.
    • à compter du 1er octobre 1954, à Madame Joseph Heckel, née Amélie Michler, qui exploite un débit de boisson à l’enseigne « Café Moderne ». Elle reprend la licence accordée à Madame Kieffer, née Marguerite Schumacher, exploitante d’un débit de boisson au n°108 (ancien n°70), rue Nationale dont le bâtiment est détruit pendant la guerre. A partir du 9 mars 1955, elle achète le fonds à Joseph Gack.

A partir du 1er avril 1955, devient café-hôtel-restaurant à la même enseigne « Café Moderne ». A partir du 30 novembre 1955, loue le fonds à la Brasserie de Thionville-Yutz. Elle vend le fonds à partir du 31 mars 1964.

  • à compter du 1er avril 1964, débit de boisson exploité par Madame Raymond Muller, née Raymonde Greffier, à l’enseigne « Café Moderne ». Déménage à Herbéviller (54) à partir du 10 octobre 1965.
  • à compter du 12 mai 1966, hôtel-restaurant exploité par Madame Gaston Reymond, née Denise Tomasello, à l’enseigne « Café Moderne », jusqu’au 1er janvier 1968, où elle déménage à Argancy (57) après avoir vendu le fonds.
  • à compter du 2 janvier 1968, Madame Hans Schydlo, née Monique Burger, exploite un café-hôtel-restaurant, à l’enseigne « Hôtel-restaurant Moderne ». A partir du 1er novembre 1969, elle devient loueuse de fonds et loue :
    • à Madame Vagner née Marie-Josette Hein, du 1er novembre 1969 au 30 avril 1970 à l’enseigne « Discothèque ».
    • à Marcel Nassboum venant de Metz (57) à compter du 2 septembre 1970, exploite le café-dancing à l’enseigne « Discoteck Club ». Il cesse la location de café-dancing à partir du 30 mai 1971.
    • à Roger Vellinger, à l’enseigne « Discothèque Club », du 19 août 1971 au 15 février 1972.

Madame Hans Schydlo, née Monique Burger, vend le 4 mars 1972.

  • à compter du 4 juillet 1972 Madame Lahcène SEBIA, née Houria Triki, exploite le débit de boisson qu’elle a acheté. Elle vend le fonds pour raison de santé le 1er mars 1974.
  • à compter du 8 juillet 1974, Amar ben Messaoud Boukhalfa exploite un débit de boisson à l’enseigne « Discothèque » en même temps qu’il loue des chambres meublées. Il cesse à partir du 26 avril 1976.
  • à compter du 10 mai 1976, Abdelmadjid Hichour exploite ce café-restaurant à l’enseigne « Café Moderne ».
  • à partir du 10 novembre 1983, loue des chambres meublées. Le 1er février 1977, il s’associe à Messaoud Remmache jusqu’en 1979. A partir du 10 novembre 1983, l’enseigne devient « Restaurant La Palmeraie ». La branche restaurant est créée et inaugurée à partir du 23 du même mois. A partir du 1er septembre 1984, ouverture d’un établissement secondaire au n°46, rue de la Moselle à l’enseigne « Snack de la Palmeraie » qui ferme le 30 juin 1985.
  • à partir du 23 janvier 1995, devient le siège social de la SARL « La Palmeraie » créée à partir du 1er janvier 1995. Le fonds de débit de boisson, restaurant est loué à la SARL. Gérant : Abdelmadjid Hichour. A partir du 1er janvier 2010, la boucherie située au n°26, rue Nationale est intégré dans la SARL en établissement secondaire. A compter du 1er janvier 2010, Abdelmadjid Hichour devient gérant bénévole.

Au n°14 :

  • à compter du 1er octobre 1922, Antoine Thil exploite un commerce de brosserie, cannage de chaises et articles de ménage A partir du 11 avril 1956, ajoute dépôt de blanchisserie et nettoyage. Cesse ses activités à partir du 1er mars 1959.
  • à compter du 1er mars 1973, dépôt de blanchisserie et nettoyage exploité par Gilbert Kehr.
  • à compter du 28 février 1990, Hubert Thil exploite un commerce de vente et pose de cheminées, décoration. Il cesse ses activités à partir de décembre 2005.

Au n°15 :

  • à compter du 1er octobre 1988, en location-gérance, Madame Mario D’Alimonte, née Agnès Tomczak, exploite un commerce d’achat et vente de tous instruments de musique à l’enseigne « Piano accord ». Elle cesse ses activités à partir du 28 novembre 1991.

Au n°16 :

  • à compter du 1er janvier 1980, siège social de SARL « Société d’exploitation de l’entreprise Magard ». Gérant : Jean Magard. Il donne ses ateliers de menuiserie ébénisterie, fabrication et vente de cercueils situés au n°11, de la même rue, en location-gérance à la « Société d’exploitation de l’entreprise Magard ». Gérant : André Magard, son fils. Le 1er janvier 1988, devient « Etablissement Magard ». Jean Magard vend la société à son fils et cesse son activité le 31 décembre 1987. Dissolution de la société à partir du 1er novembre 2000.

Au n°20 :

  • à compter du 1er juillet 1935, Jean Guebel exploite un commerce de beurre, œufs, volailles, fruits et légumes en ambulant.

Au n°22 :

  • à compter du 8 octobre 1930, succursale de la banque Cromback et Cie.
  • à compter du 15 août 1933, Madame Félix Couty, née Gertrude Hungler, exploite un salon de coiffure pour dames. Le 9 juin 1937, elle déménage au n° 68, rue Nationale.
  • à compter du 17 mars 1936, Eugène Lisch exploite un salon de coiffure jusqu’au 1er avril 1937.
  • à compter du 1er juin 1939, Frédéric Pinck exploite une imprimerie, et entreprise de fabrication de sacs et cornets en papier et cellophane.
  • à compter du 1er février 1945, Michel Magard exploite un atelier de peintre en bâtiments, travaux accessoires, vitrerie, décors. A partir du 19 février 1946, il ouvre un magasin pour la vente au détail de couleurs, vernis et papiers peints. Le 1er mars 1968, il cesse la vente en magasin et continue l’exploitation de son entreprise dont les ateliers sont transférés au n°7, rue Marie Curie. A partir de la même date, Gabriel Magard (son fils), reprend le magasin de vente de couleurs, vernis, papiers peints, produits d’entretien et revêtements de sol de ses parents, qu’il transfère au n°77, rue Nationale.
  • à compter du 10 juillet 1946, Madame Bruno Bee, née Madeleine Haeberlé, exploite un commerce de sous-vêtements et tricots en ambulant. Elle cesse ses activités à partir du 31 décembre 1960.
  • à compter du 1er septembre 1980, Martin Gyss est récupérateur de fer et métaux et tous objets de recyclage en ambulant. Il cesse le 20 octobre 1980.

  • à compter du 10 juillet 1968, Belkacem Klaa demande l’autorisation d’exploiter un cabinet d’assurance toutes branches, qui lui est refusée le 16 janvier 1969.
  • à compter du 1er juillet 1968, « Le Domaine Mosellan », succursale de l’agence de Metz (57) où elle est installée depuis la même date. Agent immobilier et cabinet d’affaires, gérant d’immeubles, encaissement de loyers, prêts, promoteur, agence de voyages. Gérant : Djilali Klaa. Il transfère ses bureaux, rue de Villars à Thionville (57) à partir du 1er janvier 1972.
  • à compter du 1er avril 1971, ateliers de « Est Toiture », entreprise de couverture, zinguerie, installations sanitaires, bâtiments tous corps d’état, exploitée par Bagdad Klaa. Le siège social est au n°113, rue Nationale. Cesse ses activités à partir du 31 octobre 1972.
  • à compter du 20 novembre 1976, commerce d’alimentation générale exploité par Messaoud Boulkerzaza. Il est radié le 4 avril 1977 sans jamais avoir exercé.
  • à compter du 8 juillet 1977, commerce d’alimentation générale, épicerie, fruits, légumes, boissons hygiéniques, beurre, oeufs, fromage, produits laitiers, d’entretien, en sédentaire et en ambulant, en gérance libre, exploité par Madame Ahmed Salem née, Fatiha Kadi Turku. Elle déménage à Metz (57) à partir du 1er mars 1978.
  • à compter du 10 juillet 1990, cabinet d’assurance et prêt Belkacem Klaa.

Au n°24 :

  • à compter du 15 août 1930, Adrien Arristy exploite une entreprise de peinture. Il déménage au n°53 (ancien n°32), rue du président Roosevelt à partir du 30 octobre 1934.
  • à compter du 20 mars 2007, magasin de vêtements pour dames à l’enseigne « Pour vous les filles », exploité par Nadia Gomri. Elle cesse ses activités à partir du 5 décembre 2007.
  • à compter du 1er septembre 2007, siège social de la EURL « Take Eat Easy », snack, restauration rapide exploité par Aurélien Filarowicz. Cesse ses activités en novembre 2013 pour s’installer rue Sainte Barbe pour faire de l’entretient de véhicules automobiles.
  • à compter de juin 2010, Estelle Schwartz est la gérante d’une entreprise de toilettage canin à l’enseigne « Câlin Canin ». Etablissement secondaire à Valréas (84) qui est fermé en juin 2010. Cesse ses activité à partir du 1er mai 2013.

Au n°27 :

  • à compter du 1er février 1947, ateliers du comptoir général de papier et carton exploité par Lucien Hotton et dont le dépôt est au n°25, rue Nationale depuis la même date. Il déménage au n°10, rue d’Ypres, à partir du 27 mai 1948.

Au n°31 :

  • à compter du 1er juin 1949, Nicolas Mousseler exploite un commerce ambulant d’épicerie.
  • à compter du 15 avril 1950, Constantin Kussy exploite un atelier de tailleur et marchand d’habits. Il cesse le 1er février 1960.
  • à compter du 15 novembre 1955, Jean Joseph Mangel exploite un commerce ambulant de textiles. Il cesse ses activités à partir du 1er juillet 1961.
  • à compter du 1er juin 1959, Alphonse Schwoerer exploite un atelier de menuiserie générale (bâtiment et meubles) à l’enseigne « Menuiserie Schwoerer Alphonse ». Déménage à Malling (57) à partir du 21 décembre 1966.

 

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